L’associé unique d’une EURL a toujours la faculté de clôturer volontairement sa société toutefois, s’il est exact que l’associé unique de la société liquidée peut se prévaloir d’un droit propre et personnel sur les créances dont il est devenu titulaire à la suite de la société en application de l’article 1844-5 du code civil, peu important à ce titre l’existence d’un passif non acquitté, l’associé demeurant après le partage débiteur à titre personnel des dettes non apurées, ou l’absence de reconnaissance judiciaire du principe et de la mesure de la créance invoquée avant la liquidation.