Dans cette affaire, il a été jugé que les propos suivants ne peuvent être considérés comme une faute justifiant un licenciement : « vous, avec votre string arrogant et ostentatoire » et à un collaborateur à propos d’une mission à l’étranger : « Pépito, tu touches mais tu ne couches pas ».
Ces propos relèvent d’avantage d’un humour déplacé ou discourtois mais ne peuvent constituer une faute.