Les indemnités kilométriques éventuellement allouées au salarié couvrent la dépréciation de la voiture, les frais de réparation et d’entretien, l’usure des pneus, la consommation de carburant, mais également les primes d’assurance.
Il n’existe pas d’obligation légale conventionnelle ou contractuelle faite à l’employeur de prendre en charge l’assurance des déplacements professionnels du salarié faits dans son propre véhicule (même si selon le principe, l’employeur doit couvrir intégralement les frais exposés par le salarié pour les besoins de sa profession).