On se souvient que Christophe Rocancourt avait poursuivi Catherine Breillat et son éditeur pour atteinte à la vie privée et à la présomption d’innocence en raison de la publication du livre « Abus de faiblesse ». Le demandeur a obtenu gain de cause : en livrant la teneur de leurs disputes, des propos privés et en relatant des pratiques liées à sa vie corporelle et intime, le livre litigieux caractérise bien une immixtion dans la sphère protégée de la vie privée. La condamnation présentait néanmoins un caractère symbolique (1 euro).
Mots clés : Vie privee – Presse
Thème : Vie privee – Presse
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Tribunal de Grande Instance de Paris | Date : 15 juin 2011 | Pays : France