Contexte du mariageMadame [K] [X] [E] et Monsieur [V] [I] se sont mariés le [Date mariage 5] 2015 à [Localité 12] (93) sans contrat de mariage. Leur union n’a pas donné naissance à d’enfants. Procédure de divorceLe 25 janvier 2024, Madame [K] [X] [E] a assigné son époux en divorce devant le juge aux affaires familiales du tribunal judiciaire de BOBIGNY (93), invoquant l’altération définitive du lien conjugal. L’audience d’orientation et sur mesures provisoires a eu lieu le 27 mai 2024. Demandes des partiesDans son assignation, Madame [K] [X] [E] a demandé le prononcé du divorce sur le fondement des articles 237 et 238 du code civil. Monsieur [V] [I] a également sollicité le divorce par conclusions notifiées le 12 septembre 2024, sans préciser le fondement de sa demande. Clôture de la procédureLa clôture de la procédure a été prononcée le 20 septembre 2024. Les parties ont été informées de la mise à disposition du jugement au greffe le 25 octobre 2024. Décision du jugeLe juge aux affaires familiales a déclaré le juge français compétent et a prononcé le divorce pour altération définitive du lien conjugal, en se basant sur les articles 237 et 238 du code civil. Le divorce a été prononcé entre Madame [K] [X] [E] et Monsieur [V] [I], tous deux nés au Cameroun. Conséquences du jugementLe jugement ordonne la publicité de la décision et rappelle que le divorce entraîne la révocation des avantages matrimoniaux. Les parties sont renvoyées à procéder au partage amiable de leurs intérêts patrimoniaux, avec la possibilité de saisir le juge en cas de désaccord. Effets du jugementLe jugement prend effet sur les biens des parties à compter du 25 janvier 2024. Chaque époux perd l’usage du nom de l’autre, et Madame [K] [X] [E] est condamnée aux dépens. La décision doit être signifiée par la partie la plus diligente pour être exécutoire et est susceptible d’appel dans le mois suivant la signification. |
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