A l’issue d’une absence prolongée pour cause de maladie, le salarié doit être réintégré dans son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération équivalente. Ce n’est pas le cas d’une salariée qui a son retour est confinée à des tâches de secrétariat alors qu’avant son départ, elle occupait un poste de secrétaire de direction impliquant la gestion administrative des dossiers, des plans de promotions, de la gestion de la base informatique du personnel. L’employeur a été condamné à des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.