L’employeur est tenu de tenter de reclasser le salarié victime d’un accident du travail dans tous les postes disponibles, compatibles avec l’avis émis par le médecin du travail. En l’absence de diplôme ne permettant pas de reclasser le salarié vers un poste sur ordinateur et le salarié ayant refusé un poste, le licenciement décidé par l’employeur est fondé.