Certains éléments de chorégraphies ne sont pas protégés par le droit d’auteur. Il en va ainsi de l’utilisation d’un écran sur lequel est projetée en ombre chinoise l’image de danseuses. Il s’agit là d’un procédé très répandu dans le genre de spectacle de danse. Il en va de même (pas de protection) de l’idée d’un personnage sortant d’un écran figurant sur la scène et effectuant une prestation avant de réintégrer cet écran. Cette idée n’apparaît pas en soi comme originale et de nature à révéler la personnalité du chorégraphe.
Mots clés : Chorégraphies
Thème : Chorégraphies
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Tribunal de grande instance de Paris | Date : 25 avril 2013 | Pays : France