La mise en place d’une nouvelle application informatique nécessite la maintenance du système déjà mis en place et son adaptation. Les juge du fond ont décidé à bon droit de l’indivisibilité entre le contrat principal et le contrat accessoire de maintenance. La défaillance des prestations prévues au titre de ces deux contrats emporte restitution des sommes dues.
Cour de cassation, 1ère ch. civ., 18 septembre 2002
Mots clés : résolution contractuelle,résolution,contrat,bonne exécution du contrat,1184
Thème : Resolution contractuelle
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Cour de cassation, 1ère ch. civ. | Date : 18 septembre 2002 | Pays : France