Les droits mentionnés à l’article précédent sont prorogés, en outre, d’une durée de trente ans
lorsque l’auteur, le compositeur ou l’artiste est mort pour la France, ainsi qu’il résulte de
l’acte de décès.
Au cas où l’acte de décès ne doit être ni dressé ni transcrit en France, un arrêté du ministre
chargé de la culture peut étendre aux héritiers ou autres ayants cause du défunt le bénéfice
de la prorogation
supplémentaire de trente ans ; cet arrêté, pris après avis des autorités visées à l’article 1er de
l’ordonnance n
° 45-2717 du 2 novembre 1945, ne pourra intervenir que dans les cas où la mention » mort
pour la France » aurait dû figurer sur l’acte de décès si celui-ci avait été dressé en France.
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