Droit de la Presse : Prescription des delits de presse

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En l’espèce, il a été jugé que l’usage du terme escroc est bien diffamatoire. Il impute sans aucune équivoque, à une personne d’avoir commis des faits d’escroquerie et d’abus de confiance. Ils sont retenus comme attentatoires à l’honneur et à la considération en ce qu’ils prêtent au demandeur un comportement contraire à la morale et de nature à constituer une ou des infractions pénales.

Mots clés : Prescription des delits de presse

Thème : Prescription des delits de presse

A propos de cette jurisprudence : juridiction :  Tribunal de Grande instance de Paris | Date : 29 fevrier 2012 | Pays : France

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